La Hongrie, qui a posé lundi son veto au plan de relance européen, a jugé mercredi que s’il était adopté, il n’y aurait « plus d’obstacles à lier les États membres à des mécanismes communs de soutien à l’immigration ».
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La Hongrie, qui a posé lundi son veto au plan de relance européen, a jugé mercredi que s’il était adopté, il n’y aurait « plus d’obstacles à lier les États membres à des mécanismes communs de soutien à l’immigration ».
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