Le conseil d’administration de Frontex, l’agence de surveillance des frontières de l’UE, a déclaré jeudi n’avoir pas trouvé de preuves de violations des droits de l’homme dans les cas qu’elle a examinés à la suite d’accusations de refoulements illégaux de migrants notamment en mer Egée, de Grèce vers la Turquie.
Le conseil d’administration de Frontex, l’agence de surveillance des frontières de l’UE, a déclaré jeudi n’avoir pas trouvé de preuves de violations des droits de l’homme dans les cas qu’elle a examinés à la suite d’accusations de refoulements illégaux de migrants notamment en mer Egée, de Grèce vers la Turquie.