Deux stratégies aussi opposées qu’insensées se font face ces derniers jours. D’un côté, un gouvernement, et une bonne partie du monde politique, se protègent en déclinant un argumentaire qu’on pourrait synthétiser ainsi : « Avant, un homme politique devait être condamné définitivement pour qu’on le force à démissionner. Ensuite, il a suffi d’un jugement en première instance. Puis d’une mise en examen. Et à présent, il suffirait qu’une enquête soit déclenchée. N’importe quel ministre va être à la merci d’une simple plainte, aussi fantaisiste soit-elle. » Gérald Darmanin ne devrait donc pas démissionner.
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