Le Havre (Seine-Maritime), envoyée spéciale.– Le chant des cornes de brume se rapproche, on entend quelques cris au loin, parfois même le bruit sourd d’une bombe agricole qui explose. À la tribune, la députée Agnès Firmin-Le Bodo (Agir, la droite constructive) est en train d’expliquer que l’un des enjeux de la campagne municipale, « c’est de ne pas voler l’élection aux Havraises et aux Havrais ». Comprendre : d’éviter au maximum de nationaliser le scrutin des 15 et 22 mars, malgré un climat social toujours aussi tendu. Et malgré la décision du premier ministre de se représenter ici, dans la ville qu’il a dirigée de 2010 à son entrée à Matignon, en mai 2017.
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Le Havre (Seine-Maritime), envoyée spéciale.– Le chant des cornes de brume se rapproche, on entend quelques cris au loin, parfois même le bruit sourd d’une bombe agricole qui explose. À la tribune, la députée Agnès Firmin-Le Bodo (Agir, la droite constructive) est en train d’expliquer que l’un des enjeux de la campagne municipale, « c’est de ne pas voler l’élection aux Havraises et aux Havrais ». Comprendre : d’éviter au maximum de nationaliser le scrutin des 15 et 22 mars, malgré un climat social toujours aussi tendu. Et malgré la décision du premier ministre de se représenter ici, dans la ville qu’il a dirigée de 2010 à son entrée à Matignon, en mai 2017.
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