Les petits cœurs et les pouces bleus remontent en surimpression sur le visage d’Olivier Besancenot. Ce 1er avril au soir, 500 internautes regardent, sur Facebook, le premier « meeting en ligne » du NPA. La voix devient métallique, l’image se fige en pixels. Le postier révolutionnaire tente vaille que vaille de lancer les hostilités depuis son canapé : « On a un gouvernement qui fait de la politique à haute dose. Il faut qu’on puisse réagir politiquement ! »
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