Finie l’unanimité derrière l’ancien leader de l’UMP. Après l’affaire Bygmalion, la garde à vue de Nicolas Sarkozy renforce les doutes au sein de son parti. Ils sont de plus en plus nombreux à penser que, coupable ou non, il ne sera plus en mesure de représenter la droite en 2017.
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IlsIls ont pris sa défense dans les affaires Karachi, Bettencourt, Kadhafi. Certains ont même écumé les plateaux télévisés pour dénoncer « l’acharnement de la justice » à son encontre. La plupart n’ont eu de cesse de réclamer son retour dans la vie politique. Mais ce mardi, dans les couloirs de l’Assemblée, dans leur circonscription ou leur fédération, ils peinent à défendre Nicolas Sarkozy. « Ça commence à faire beaucoup… », souffle le député filloniste du Nord, Thierry Lazaro.