« Mon premier conseiller, c'est Jean-Marie Le Pen », avait l'habitude de répéter Marine Le Pen. Aujourd'hui présidente d'un Front national qu'elle souhaite transformer en « pôle de rassemblement patriote » « au-delà du clivage droite-gauche », elle se passerait sans doute des conseils paternels. Ou en tout cas de ses déclarations fracassantes.
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