De retour des journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Cracovie, le cardinal Barbarin a de quoi être soulagé. Ce lundi 1er août, le parquet de Lyon vient de classer sans suite six plaintes pour « non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs » et « non-assistance à personne en danger » le visant. Six mois que la capitale des Gaules retenait son souffle pour connaître le sort de son archevêque. Depuis mars, une enquête préliminaire est ouverte pour déterminer si le diocèse a caché des agressions sexuelles sur mineurs à la justice, commises par l’abbé Preynat. Ces plaintes ne visaient pas que le primat des Gaules mais aussi son directeur de cabinet Pierre Durieux, une déléguée du diocèse, Régine Maire, ou encore le vicaire Xavier Grillon.
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De retour des journées mondiales de la jeunesse (JMJ) à Cracovie, le cardinal Barbarin a de quoi être soulagé. Ce lundi 1er août, le parquet de Lyon vient de classer sans suite six plaintes pour « non-dénonciation d’agressions sexuelles sur mineurs » et « non-assistance à personne en danger » le visant. Six mois que la capitale des Gaules retenait son souffle pour connaître le sort de son archevêque. Depuis mars, une enquête préliminaire est ouverte pour déterminer si le diocèse a caché des agressions sexuelles sur mineurs à la justice, commises par l’abbé Preynat. Ces plaintes ne visaient pas que le primat des Gaules mais aussi son directeur de cabinet Pierre Durieux, une déléguée du diocèse, Régine Maire, ou encore le vicaire Xavier Grillon.
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