Le constat est amer. Et il a forcément résonné d’un ton particulier à l’oreille de ceux qui ont occupé un temps le poste de ministre de l’écologie, fonction dont l’intitulé a varié au fil des années, des remaniements et des alternances. En annonçant sa démission, lundi 28 août, en direct sur France Inter, Nicolas Hulot n’a pas seulement provoqué une crise politique majeure pour Emmanuel Macron, il a aussi levé le voile sur un portefeuille ministériel qui suscite autant de passions que de frustrations. Quinze mois après avoir enfin accepté de se prêter à l’exercice – il avait auparavant décliné les propositions de Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande –, l’ancien animateur d’« Ushuaïa » est parti sur une formule sans appel : « Je ne veux plus mentir. »
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
Le constat est amer. Et il a forcément résonné d’un ton particulier à l’oreille de ceux qui ont occupé un temps le poste de ministre de l’écologie, fonction dont l’intitulé a varié au fil des années, des remaniements et des alternances. En annonçant sa démission, lundi 28 août, en direct sur France Inter, Nicolas Hulot n’a pas seulement provoqué une crise politique majeure pour Emmanuel Macron, il a aussi levé le voile sur un portefeuille ministériel qui suscite autant de passions que de frustrations. Quinze mois après avoir enfin accepté de se prêter à l’exercice – il avait auparavant décliné les propositions de Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande –, l’ancien animateur d’« Ushuaïa » est parti sur une formule sans appel : « Je ne veux plus mentir. »
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous