La victoire écrasante, à la primaire de la droite et du centre, de François Fillon, tenant d’une ligne ultralibérale sur le plan économique et ultraconservatrice sur le plan de la morale, sur Alain Juppé, clarifie la donne. Elle invite à s’interroger tant sur sa capacité à rassembler les diverses composantes de sa famille politique qu’à réduire l’électorat frontiste (lire l'analyse de Joël Gombin). Plutôt que de suivre les réactions à chaud, mieux vaut se placer à distance de l’événement.
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