Dans le Carrefour City du 168, boulevard Masséna, à Paris, les néons récemment installés projettent une lumière blanche sur des étals désespérément vides. Les rares clients qui entrent demandent parfois si le magasin est réellement ouvert ou s’il est en travaux. Depuis quelques semaines, sa gérante, Bouchra Bouziane, s’y rend le moins souvent possible. « Ça me donne trop mal au cœur de voir le magasin comme ça. »
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