L’affaire, dans la foulée de l’onde de choc Weinstein aux États-Unis, avait provoqué la chute médiatique du prédicateur. Après le dépôt de deux plaintes pour viol contre Tariq Ramadan au mois d'octobre, l'audition des plaignantes à Paris et à Rouen, puis une enquête de trois mois qui a abouti, le 31 janvier, à sa garde à vue, l'islamologue suisse de 55 ans a été mis en examen pour viol et viol sur personne vulnérable, puis incarcéré, en attendant un débat différé sur son placement en détention. Cette décision reviendra en effet in fine au juge des libertés et de la détention.
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L’affaire, dans la foulée de l’onde de choc Weinstein aux États-Unis, avait provoqué la chute médiatique du prédicateur. Après le dépôt de deux plaintes pour viol contre Tariq Ramadan au mois d'octobre, l'audition des plaignantes à Paris et à Rouen, puis une enquête de trois mois qui a abouti, le 31 janvier, à sa garde à vue, l'islamologue suisse de 55 ans a été mis en examen pour viol et viol sur personne vulnérable, puis incarcéré, en attendant un débat différé sur son placement en détention. Cette décision reviendra en effet in fine au juge des libertés et de la détention.
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