La réunion du comité d’entreprise de Fret SNCF du 27 mars fut sans doute une des plus brèves dans l’histoire de l’entreprise. « Les représentants du personnel ont lu une déclaration unitaire puis se sont levés », raconte Alexandre Boyer, secrétaire CGT cheminots de Paris Sud Est. Il n’était pas prévu, de toute façon, d’aborder les vrais sujets lors de cette rencontre, tout étant repoussé après la réforme de la SNCF. Depuis novembre au moins, les salariés redoutent pourtant de savoir ce qui les attend : trois mille emplois risquent de disparaître dans les prochaines années, soit quasiment la moitié de l’effectif de Fret SNCF.
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La réunion du comité d’entreprise de Fret SNCF du 27 mars fut sans doute une des plus brèves dans l’histoire de l’entreprise. « Les représentants du personnel ont lu une déclaration unitaire puis se sont levés », raconte Alexandre Boyer, secrétaire CGT cheminots de Paris Sud Est. Il n’était pas prévu, de toute façon, d’aborder les vrais sujets lors de cette rencontre, tout étant repoussé après la réforme de la SNCF. Depuis novembre au moins, les salariés redoutent pourtant de savoir ce qui les attend : trois mille emplois risquent de disparaître dans les prochaines années, soit quasiment la moitié de l’effectif de Fret SNCF.
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