Quand Jean-Luc Mélenchon a tweeté ce mardi que les violences ayant marqué le défilé parisien du 1er Mai étaient « sans doute » dues à des « bandes d’extrême droite », nombre de Twittos lui ont répondu en s’offusquant que les violences seraient plutôt le fait de ses amis de l’ultragauche. Les deux assertions sont tout aussi fausses, tout comme celle de militants d’ultragauche eux-mêmes réfutant une étiquette qui ne serait pour eux qu'une invention policière.
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Quand Jean-Luc Mélenchon a tweeté ce mardi que les violences ayant marqué le défilé parisien du 1er Mai étaient « sans doute » dues à des « bandes d’extrême droite », nombre de Twittos lui ont répondu en s’offusquant que les violences seraient plutôt le fait de ses amis de l’ultragauche. Les deux assertions sont tout aussi fausses, tout comme celle de militants d’ultragauche eux-mêmes réfutant une étiquette qui ne serait pour eux qu'une invention policière.
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