La décision de Donald Trump est si grave sur le fond, et si provocante sur la forme, que sa portée planétaire dépasse naturellement les échéances électorales françaises. Mais comment ne pas voir, à neuf jours du premier tour des élections législatives, que « l’affaire Trump » a soufflé « l’affaire Ferrand » et qu’en s’emparant de la première Emmanuel Macron s’est débarrassé de la seconde ?
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous