Biru* vit sur le fil du rasoir. Il suffit d’une secousse pour que l’équilibre fragile de l’étudiant indonésien soit bousculé. La crise du Covid, et ses conséquences, est venue, comme un séisme, tout bouleverser. Arrivé en France il y a un peu plus d’un an, il étudie le français dans un établissement d’enseignement supérieur privé à Paris. Pour se payer sa scolarité et son loyer, ce fils de paysans indonésiens cumule les heures en tant que réceptionniste de nuit. Depuis que les hôtels ont fermé, Biru se retrouve dans une extrême précarité.
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Biru* vit sur le fil du rasoir. Il suffit d’une secousse pour que l’équilibre fragile de l’étudiant indonésien soit bousculé. La crise du Covid, et ses conséquences, est venue, comme un séisme, tout bouleverser. Arrivé en France il y a un peu plus d’un an, il étudie le français dans un établissement d’enseignement supérieur privé à Paris. Pour se payer sa scolarité et son loyer, ce fils de paysans indonésiens cumule les heures en tant que réceptionniste de nuit. Depuis que les hôtels ont fermé, Biru se retrouve dans une extrême précarité.
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