Marine Le Pen n’a « pas coupé tous les ponts avec les néonazis ». C'est ce qu'estime le journaliste Frédéric Haziza, auteur de Vol au-dessus d’un nid de fachos, publié aux éditions Fayard le 15 janvier. Dans son livre, l'auteur vise« deux de ses principaux confidents et conseillers, Frédéric Chatillon et Philippe Péninque » qui, selon lui, « assument encore aujourd’hui leur héritage politique du temps du GUD, et contrôlent les finances du Front national ».
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Marine Le Pen n’a « pas coupé tous les ponts avec les néonazis ». C'est ce qu'estime le journaliste Frédéric Haziza, auteur de Vol au-dessus d’un nid de fachos, publié aux éditions Fayard le 15 janvier. Dans son livre, l'auteur vise « deux de ses principaux confidents et conseillers, Frédéric Chatillon et Philippe Péninque » qui, selon lui, « assument encore aujourd’hui leur héritage politique du temps du GUD, et contrôlent les finances du Front national ».
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