À la présidentielle, l’universalité ou la méritocratie pour l’enseignement supérieur
Dans les programmes, le clivage est évident : quand certaines candidatures multiplient les propositions financières pour remettre l’université à flot après plusieurs quinquennats de sous-financement, d’autres poussent pour toujours plus de sélection sociale.
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EnEn 2017, moins d’un jeune sur cinq a voté à tous les tours des élections, présidentielle et législatives. Aussi, les candidat·es lorgnent cette réserve de voix, les draguant sur leurs réseaux favoris, TikTok ou Twitch. Dans les discours, ce sont les étudiant·es qui sont au cœur des préoccupations, tandis que la frange la plus précaire, qui ne fait ni d’études, ni de stage, ni de formation professionnelle, et qui représente près d’un million et demi de jeunes de moins de 29 ans, est délaissée.