Encore, encore et encore, Nicolas Sarkozy et les affaires… L'ex-chef de l'État, qui participe ce 3 novembre au deuxième débat des candidats à la primaire de la droite, ne devait pas être mis en difficulté par ses concurrents. Le thème a été pudiquement évacué et les questions étouffées lors du premier débat. Resurgirait-il que l'ancien président criera « au grand air de la calomnie » et abattra son argument massue : « J'ai bénéficié de cinq non-lieux. » Ce qui est faux, puisqu'il n'a eu que deux non-lieux – les deux aux attendus particulièrement sévères – et qu'il demeure sous le coup de deux mises en examen : l'une pour « corruption, trafic d’influence et violation du secret professionnel » ; l'autre pour « financement illégal de campagne électorale ».
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Encore, encore et encore, Nicolas Sarkozy et les affaires… L'ex-chef de l'État, qui participe ce 3 novembre au deuxième débat des candidats à la primaire de la droite, ne devait pas être mis en difficulté par ses concurrents. Le thème a été pudiquement évacué et les questions étouffées lors du premier débat. Resurgirait-il que l'ancien président criera « au grand air de la calomnie » et abattra son argument massue : « J'ai bénéficié de cinq non-lieux. » Ce qui est faux, puisqu'il n'a eu que deux non-lieux – les deux aux attendus particulièrement sévères – et qu'il demeure sous le coup de deux mises en examen : l'une pour « corruption, trafic d’influence et violation du secret professionnel » ; l'autre pour « financement illégal de campagne électorale ».
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