«C’était important pour moi de faire rentrer dans le champ littéraire la voix d’une jeune fille qui avait été victime. C’est une voix qu’on n’entend jamais en littérature. » C’est par ces mots que Vanessa Springora explique l’objet de son livre paru le 2 janvier, et intitulé Le Consentement (Grasset). Elle y décrit l’emprise dont, enfant, elle a été victime de la part d’un écrivain, Gabriel Matzneff, qui ne cachait pas sa pédocriminalité.
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«C’était important pour moi de faire rentrer dans le champ littéraire la voix d’une jeune fille qui avait été victime. C’est une voix qu’on n’entend jamais en littérature. » C’est par ces mots que Vanessa Springora explique l’objet de son livre paru le 2 janvier, et intitulé Le Consentement (Grasset). Elle y décrit l’emprise dont, enfant, elle a été victime de la part d’un écrivain, Gabriel Matzneff, qui ne cachait pas sa pédocriminalité.
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