Jean-Marc Ayrault est souvent accusé de prononcer des discours creux et sans souffle. Mercredi, le premier ministre a au contraire truffé son allocution devant les députés (le texte en pdf ici) de superlatifs et d'anaphores lyriques pour justifier la volonté de son gouvernement d'intervenir en Syrie, après l'attaque chimique du 21 août attribuée à Bachar-al-Assad, et dont la France estime qu'elle a fait 1500 morts.
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