Les familles roms installées autour de la place de la République, à Paris, sont la cible d'une personne qui les attaque avec un produit corrosif. Malgré la peur que leur inspirent les policiers, un homme et une femme viennent de déposer plainte. Des Roms et des bénévoles associatifs, interrogés par Mediapart, témoignent de multiples agressions. Le commissariat du quartier reconnaît la gravité des faits.
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Plusieurs familles roms venues de Roumanie vivent depuis plusieurs mois sur les trottoirs de la place de la République, à Paris. Des bénévoles associatifs leur rendent visite régulièrement : ils avaient déjà entendu parler de ces histoires d’« attaques à l’acide» lors de leurs maraudes, ces tournées du quartier qui les conduisent à faire des haltes d’une famille à l’autre. Mais cette fois-ci, l’homme a été pris sur le vif par Léo Larbi, membre de l’association Autremonde, et sa coéquipière. L’agresseur venait d’asperger le matelas en mousse d’un couple, qui avait trouvé refuge sous l’auvent de la boutique du bagagiste Rayon d’Or, au croisement de la rue du Temple et de la rue Béranger.
Désastre économique, humanitaire, droits humains attaqués… Un an après avoir rebasculé dans les mains des talibans, l’Afghanistan n’en finit pas de sombrer. Pour la minorité LGBT+, le retour des fondamentalistes islamistes est dévastateur.
Mediapart a sillonné la vallée de la Valdaine et ses environs dans la Drôme, à la rencontre d’agriculteurs qui souffrent des canicules à répétition. Des pans de récoltes grillées, des chèvres qui produisent moins de lait, des tâches nouvelles qui s’accumulent : paroles de travailleurs lessivés, et inquiets pour les années à venir.
Il y a un an, le critique de théâtre Jean-Pierre Thibaudat confirmait dans un billet de blog de Mediapart avoir été le destinataire de textes disparus de l’écrivain antisémite Louis-Ferdinand Céline. Aujourd’hui, toujours dans le Club de Mediapart, il revient sur cette histoire et le secret qui l’entourait encore. « Le temps est venu de dévoiler les choses pour permettre un apaisement général », estime-t-il, révélant que les documents lui avaient été remis par la famille du résistant Yvon Morandat, qui les avait conservés.
En renvoyant systématiquement la Nupes à « l’extrême gauche », la Macronie continue de banaliser l’extrême droite qui, présente en force à l’Assemblée nationale, se félicite d’avoir autant de ventriloques.
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