«Nous n’arrivons pas de nulle part pour sauver le monde. » Assa Traoré le martèle à chacune de ses interventions, dans les manifestations comme dans les médias. Le combat qu’elle porte avec le comité La vérité pour Adama, contre les violences policières et le racisme en France, n’est pas un cheveu tombé dans la soupe de la militance au lendemain du décès de son petit frère Adama, après une interpellation par plaquage ventral, le 19 juillet 2016. Il s’inscrit dans la continuité des luttes de l’immigration et des quartiers populaires, des décennies de luttes invisibilisées pourtant majeures.
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«Nous n’arrivons pas de nulle part pour sauver le monde. » Assa Traoré le martèle à chacune de ses interventions, dans les manifestations comme dans les médias. Le combat qu’elle porte avec le comité La vérité pour Adama, contre les violences policières et le racisme en France, n’est pas un cheveu tombé dans la soupe de la militance au lendemain du décès de son petit frère Adama, après une interpellation par plaquage ventral, le 19 juillet 2016. Il s’inscrit dans la continuité des luttes de l’immigration et des quartiers populaires, des décennies de luttes invisibilisées pourtant majeures.
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