« Je souffre dans l'attente », confiait Richard Ferrand à Paris Matchle 13 septembre. Visé depuis le 1er juin par une enquête préliminaire pour des faits pouvant être qualifiés d'« atteintes aux biens, manquement au devoir de probité et aux règles spécifiques du Code de la mutualité », le tout frais ministre de la cohésion des territoires (nommé le 17 mai), avait dû quitter le gouvernement d'Édouard Philippe par la petite porte. Recasé comme président du groupe La République en marche (LREM) à l'Assemblée, il ronge depuis lors son frein.
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« Je souffre dans l'attente », confiait Richard Ferrand à Paris Match le 13 septembre. Visé depuis le 1er juin par une enquête préliminaire pour des faits pouvant être qualifiés d'« atteintes aux biens, manquement au devoir de probité et aux règles spécifiques du Code de la mutualité », le tout frais ministre de la cohésion des territoires (nommé le 17 mai), avait dû quitter le gouvernement d'Édouard Philippe par la petite porte. Recasé comme président du groupe La République en marche (LREM) à l'Assemblée, il ronge depuis lors son frein.
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