Le rendez-vous est donné dans un square quelconque du XVe arrondissement de Paris. Les gens arrivent seuls, par deux, par trois. Ils cherchent des yeux leurs co-conspirateurs. Sourires, clins d’œil, quelques mots. Au bout d’une vingtaine de minutes, le groupe est à peu près complet : une vingtaine de personnes, de 20 à 50 ans. Franck, le guide, passe d’un œil nonchalant la petite troupe en revue, puis demande d’éteindre les téléphones, si ce n’est déjà fait.
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