« Les gilets jaunes, c’est moi, c’est lui, c’est le peuple », résumait un manifestant, samedi 1er décembre 2018, dans les rues de Paris. Depuis trois semaines, forts de ce principe, les gilets jaunes jouent au chat et à la souris. Leurs porte-parole apparaissent et disparaissent des écrans de télé, des représentants sont désignés pour être aussitôt contestés – parfois violemment – alors qu’émergent sur les réseaux sociaux quelques leaders dont l’aura repose aussi sur leur capacité à se mettre en scène.
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« Les gilets jaunes, c’est moi, c’est lui, c’est le peuple », résumait un manifestant, samedi 1er décembre 2018, dans les rues de Paris. Depuis trois semaines, forts de ce principe, les gilets jaunes jouent au chat et à la souris. Leurs porte-parole apparaissent et disparaissent des écrans de télé, des représentants sont désignés pour être aussitôt contestés – parfois violemment – alors qu’émergent sur les réseaux sociaux quelques leaders dont l’aura repose aussi sur leur capacité à se mettre en scène.
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