« J’ai toujours considéré les sondages comme des horoscopes. Ils ont la même valeur scientifique, mais hélas aussi le même impact psychologique qu’un horoscope. » La phrase est signée Jean-Luc Mélenchon, on peut la lire dans un entretien publié dimanche matin par le journal Le Parisien. Elle décrit bien le jeu d’ombres auquel se sont livrés hier le patron du Parti de gauche, en double meeting à Lyon et Aubervilliers, et le gagnant de la primaire de la « Belle alliance », officiellement investi ce dimanche par le PS.
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