L’heure est grave au Front de gauche. Depuis sa rentrée brouillée lors de son université d’été à Grenoble, l’ambiance ne s’est guère détendue entre le PCF de Pierre Laurent et le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon. Principale pomme de discorde : la stratégie électorale aux municipales. Et un PCF qui n’en finit plus d’hésiter sur sa stratégie électorale parisienne. Tiraillé entre la volonté des élus de conserver leurs postes en partant au premier tour avec le PS, et la colère militante face à l’action gouvernementale et la mise en péril du Front de gauche.
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L’heure est grave au Front de gauche. Depuis sa rentrée brouillée lors de son université d’été à Grenoble, l’ambiance ne s’est guère détendue entre le PCF de Pierre Laurent et le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon. Principale pomme de discorde : la stratégie électorale aux municipales. Et un PCF qui n’en finit plus d’hésiter sur sa stratégie électorale parisienne. Tiraillé entre la volonté des élus de conserver leurs postes en partant au premier tour avec le PS, et la colère militante face à l’action gouvernementale et la mise en péril du Front de gauche.
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