Avec quelques élus ou dirigeants politiques dont le président du Modem, François Bayrou, le député (UDI) de la Marne Charles de Courson aura décidément été l’un des rares à chercher constamment à faire émerger la vérité, du début jusqu’à la fin de l’affaire Tapie. Il en avait administré la preuve dès les premières semaines du scandale, à l’été 2008, en jouant un rôle moteur au sein de la commission des finances de l’Assemblée nationale pour que celle-ci fasse le jour sur l’arbitrage. Et bientôt huit ans plus tard, il ne désarme toujours pas : il vient ainsi d’adresser une question écrite à la garde des Sceaux, Christiane Taubira, pour l’interroger sur l’étrange comportement du parquet, placé sous son autorité, dans les dernières péripéties judiciaires de l’affaire.
Avec quelques élus ou dirigeants politiques dont le président du Modem, François Bayrou, le député (UDI) de la Marne Charles de Courson aura décidément été l’un des rares à chercher constamment à faire émerger la vérité, du début jusqu’à la fin de l’affaire Tapie. Il en avait administré la preuve dès les premières semaines du scandale, à l’été 2008, en jouant un rôle moteur au sein de la commission des finances de l’Assemblée nationale pour que celle-ci fasse le jour sur l’arbitrage. Et bientôt huit ans plus tard, il ne désarme toujours pas : il vient ainsi d’adresser une question écrite à la garde des Sceaux, Christiane Taubira, pour l’interroger sur l’étrange comportement du parquet, placé sous son autorité, dans les dernières péripéties judiciaires de l’affaire.
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