Le scandale Uramin réserve décidément bien des surprises. Uramin, c’est cette société détentrice de trois gisements d’uranium inexploitables en Afrique, dont le rachat a fait perdre 2,6 milliards d’euros à Areva, sous la présidence d’Anne Lauvergeon. De cette affaire tentaculaire, instruite par les juges financiers Renaud Van Ruymbeke, Charlotte Bilger et Claire Thépaut, on connaissait déjà les soupçons de corruption, d’escroquerie et de faux bilans, l’intervention rocambolesque de Patrick Balkany en Centrafrique, ou encore les accusations de délit d’initié visant le mari d’« Atomic Anne » (lire nos enquêtes ici, là et là).
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Le scandale Uramin réserve décidément bien des surprises. Uramin, c’est cette société détentrice de trois gisements d’uranium inexploitables en Afrique, dont le rachat a fait perdre 2,6 milliards d’euros à Areva, sous la présidence d’Anne Lauvergeon. De cette affaire tentaculaire, instruite par les juges financiers Renaud Van Ruymbeke, Charlotte Bilger et Claire Thépaut, on connaissait déjà les soupçons de corruption, d’escroquerie et de faux bilans, l’intervention rocambolesque de Patrick Balkany en Centrafrique, ou encore les accusations de délit d’initié visant le mari d’« Atomic Anne » (lire nos enquêtes ici, là et là).
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