Le débat autour de l’inscription de la naissance de Charles Maurras dans les commémorations nationales a relancé l’éternel questionnement sur l’art et la nécessité des commémorations comme phénomène permettant aux citoyens de bénéficier d’un patrimoine culturel partagé. En ce mois de février 2018, il faudrait davantage espérer une ample commémoration par la République, disons pour l'an prochain, de la Retirada, cet exil massif des Républicains espagnols entre 1937 et 1939. Voilà qui, en ces temps d’hystérie quant à la venue de réfugiés, ferait sens pour regarder en face des moments méconnus mais structurants de notre histoire.
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Le débat autour de l’inscription de la naissance de Charles Maurras dans les commémorations nationales a relancé l’éternel questionnement sur l’art et la nécessité des commémorations comme phénomène permettant aux citoyens de bénéficier d’un patrimoine culturel partagé. En ce mois de février 2018, il faudrait davantage espérer une ample commémoration par la République, disons pour l'an prochain, de la Retirada, cet exil massif des Républicains espagnols entre 1937 et 1939. Voilà qui, en ces temps d’hystérie quant à la venue de réfugiés, ferait sens pour regarder en face des moments méconnus mais structurants de notre histoire.
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