« Moi, je veux savoir, je pense que toute la France veut savoir. » C'était le 31 octobre 2018, et la ministre de la santé Agnès Buzyn tapait du poing sur la table en annonçant le lancement d'une enquête nationale sur l'affaire dite des « bébés sans bras ». Deux objectifs : tenter un recensement des cas d'enfants nés avec cette malformation congénitale qu'est l'agénésie transverse des membres supérieurs (ATMS) ; et tenter d'identifier les causes d'un nombre de cas anormalement élevé dans plusieurs départements (Ain, Morbihan, Loire-Atlantique).
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