Départs volontaires ou contraints de 112 salariés sur 400 ; tractations secrètes avec le Qatar sur les droits TV ; emplois offerts à des proches ; rémunération exorbitante d’Oudéa-Castéra : le nouveau président de la fédération de tennis, Gilles Moretton, fait l’objet de vives critiques.
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QuiconqueQuiconque suit l’actualité sportive sait que deux grandes fédérations, celles du football et du rugby, traversent une crise à cause des errements ou des fautes de leurs dirigeants. Pointant ces deux fédérations, mais aussi le comité olympique, le journal Le Parisien cherchait récemment à expliquer « pourquoi la gouvernance du sport français est en crise ». Si la question est légitime, elle mérite d’être élargie à la Fédération française de tennis (FFT).