Le premier ministre, François Fillon, a annoncé, mercredi 5 mai, une cascade de mesures qui, cumulées avec la réforme à venir des retraites, dessinent les contours d'une véritable politique d'austérité.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
C'est le nouveau rebondissement de la crise économique historique qui secoue la planète depuis plus de deux ans : jour après jour, tous les pays européens sont en passe de se convertir à des politiques d'austérité. À son tour, la France va donc s'y mettre. Annoncée mercredi 5 mai sur TF1 par François Fillon, la purge sera certes en France moins violente qu'en Grèce, mais elle n'en sera pas moins socialement douloureuse. Et elle n'en pose pas moins une question décisive : le grand désordre qui règne sur les marchés financiers depuis de longs mois et les ravages de la spéculation ne peuvent-ils être contenus qu'au prix de ce que les économistes appellent un « ajustement social » ?
Mardi 2 août, une majorité d’électeurs de l’État américain du Midwest a rejeté un amendement à la Constitution locale qui aurait permis la restriction, voire l’interdiction, du droit à l’avortement. Il s’agissait du premier test électoral depuis la révocation de l’arrêt « Roe v. Wade » en juin.
À la suite d’une révolte des emprunteurs, le pouvoir a dû réagir pour stabiliser la situation, mais le vrai problème reste son incapacité à construire un nouveau modèle économique.
Le 20 juillet, des milliers de colons israéliens se sont donné rendez-vous aux quatre coins de la Cisjordanie pour y créer dix nouveaux avant-postes en une soirée, espérant influencer la politique du gouvernement. Au grand dam des Palestiniens, qui voient de plus en plus de terres confisquées, et la violence des colons s’intensifier.
Les vagues de chaleur océanique s’intensifient, comme l’alerte la climatologue du Giec Valérie Masson-Delmotte. Elles causent le blanchissement et la dégradation des récifs coralliens, la mortalité de masse d’oiseaux marins, mais aussi des risques pour la santé humaine à cause de la prolifération d’algues toxiques.
Actionnaires directs et indirects : Société pour l’Indépendance de Mediapart, Fonds pour une Presse Libre, Association pour le droit de savoir
Rédaction et administration : 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris
Courriel : contact@mediapart.fr
Téléphone : + 33 (0) 1 44 68 99 08
Propriétaire, éditeur, imprimeur : Société Editrice de Mediapart
Abonnement : pour toute information, question ou conseil, le service abonnés de Mediapart peut être contacté par courriel à l’adresse : serviceabonnement@mediapart.fr ou par courrier à l'adresse : Service abonnés Mediapart, 11 place Charles de Gaulle 86000 Poitiers. Vous pouvez également adresser vos courriers à Société Editrice de Mediapart, 127 avenue Ledru-Rollin, 75011 Paris.