Assumer un mort, et vivre avec. Le PS au pouvoir semble faire comme si de rien n’était, depuis la mort de Rémi Fraisse, un jeune botaniste de 21 ans, en marge du rassemblement de Sivens (Tarn) il y a deux semaines. Une mort dont les circonstances laissent entrevoir un mensonge d’État (lire nos révélations), qui a été évacuée en une minute par le président de la République au tout début de son émission sur TF1 jeudi, où il a indiqué ne pouvoir « admettre qu'un jeune meure pour ses idées » et devoir « la vérité à sa famille », assurant en tirer « toutes les conclusions en terme de responsabilités ».
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous