Ça part dans tous les sens. À la veille d’un nouveau samedi de mobilisation des « gilets jaunes », que l’Élysée présente d’ores et déjà comme une journée de « très grande violence », la macronie ne parvient plus à cacher la panique qui règne dans ses rangs, au sein de la majorité comme au plus haut niveau de l’État. Les annonces formulées mardi 4 décembre par Édouard Philippe, et largement adoptées le lendemain à l’Assemblée nationale, n’ont pas suffi à calmer les colères qui s’expriment dans la rue depuis bientôt un mois.
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Ça part dans tous les sens. À la veille d’un nouveau samedi de mobilisation des « gilets jaunes », que l’Élysée présente d’ores et déjà comme une journée de « très grande violence », la macronie ne parvient plus à cacher la panique qui règne dans ses rangs, au sein de la majorité comme au plus haut niveau de l’État. Les annonces formulées mardi 4 décembre par Édouard Philippe, et largement adoptées le lendemain à l’Assemblée nationale, n’ont pas suffi à calmer les colères qui s’expriment dans la rue depuis bientôt un mois.
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