À la barre du tribunal correctionnel de Paris, ce jeudi 7 février, Cécile Duflot livre un récit trop longtemps retenu. Ses années de militantisme et de vie politique l’avaient endurcie, mais l’heure est aux constats sans concession. « Dès mon arrivée chez les Verts, en 2001, dans un parti qui se revendiquait féministe et libertaire, j’ai entendu des choses qui se situaient dans une zone grise », commence l'ancienne ministre de François Hollande. Il faut entendre par là que le sort des femmes était finalement peu enviable au sein du parti écologiste, malgré l'esprit de camaraderie et les valeurs progressistes affichées bien haut.
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À la barre du tribunal correctionnel de Paris, ce jeudi 7 février, Cécile Duflot livre un récit trop longtemps retenu. Ses années de militantisme et de vie politique l’avaient endurcie, mais l’heure est aux constats sans concession. « Dès mon arrivée chez les Verts, en 2001, dans un parti qui se revendiquait féministe et libertaire, j’ai entendu des choses qui se situaient dans une zone grise », commence l'ancienne ministre de François Hollande. Il faut entendre par là que le sort des femmes était finalement peu enviable au sein du parti écologiste, malgré l'esprit de camaraderie et les valeurs progressistes affichées bien haut.
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