Il aura fallu attendre le 2 avril, soit un peu plus de deux mois après le début de l’épidémie, pour que le gouvernement se décide à communiquer sur les décès dans les maisons de retraite (3 237 recensés le 7 avril dans les Ehpad et autres établissements médico-sociaux sur 10 328 morts en France). Jusqu’à cette date, les bulletins quotidiens d’information ne recensaient que les données hospitalières. Alors que le directeur général de la santé prenait la parole chaque soir devant les Français, il fallait se tourner vers la presse quotidienne régionale pour s’informer sur la progression de la maladie dans les maisons de retraite et autres établissements médico-sociaux, pour y découvrir des morts en cascade.
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Il aura fallu attendre le 2 avril, soit un peu plus de deux mois après le début de l’épidémie, pour que le gouvernement se décide à communiquer sur les décès dans les maisons de retraite (3 237 recensés le 7 avril dans les Ehpad et autres établissements médico-sociaux sur 10 328 morts en France). Jusqu’à cette date, les bulletins quotidiens d’information ne recensaient que les données hospitalières. Alors que le directeur général de la santé prenait la parole chaque soir devant les Français, il fallait se tourner vers la presse quotidienne régionale pour s’informer sur la progression de la maladie dans les maisons de retraite et autres établissements médico-sociaux, pour y découvrir des morts en cascade.
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