Dès le mois de juillet 2004, la justice française – plus précisément le juge d'instruction antiterroriste Jean-Louis Bruguière – était informée de l'existence et du nom d'un informateur susceptible de relancer l'enquête sur l'assassinat des sept moines français de Tibéhirine, en mai 1996.
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Dès le mois de juillet 2004, la justice française – plus précisément le juge d'instruction antiterroriste Jean-Louis Bruguière – était informée de l'existence et du nom d'un informateur susceptible de relancer l'enquête sur l'assassinat des sept moines français de Tibéhirine, en mai 1996.
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