Avec 9.000 postes supprimés et 1.500 classes fermées, le primaire paie le plus lourd tribut de cette rentrée scolaire. Et ça passe mal. Exemples dans le Tarn, en Gironde, dans les Bouches-du-Rhône, en Haute-Garonne, etc.
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LaLa rentrée dans le primaire est passée... et pourtant ça ne passe pas. Alors que se tiennent ces jours-ci les comités techniques paritaires (CTP) qui, à chaque rentrée, ajustent à la marge les situations délicates et décident d'ouvrir ou de fermer des classes en fonction des effectifs, les actions de protestation se sont multipliées depuis lundi. En général purement technique, ces CTP se déroulent cette année dans un climat électrique. Comme à Créteil ou Toulouse, plusieurs rassemblements de parents et d'enseignants sont prévus aujourd'hui pour réclamer des ouvertures de classes.