De notre envoyée spéciale à Nice (Alpes-Maritimes). Il aura fallu un sondage plaçant Marine Le Pen en tête au premier tour de la présidentielle de 2017 pour que l’UMP s’inquiète de nouveau du Front national. Ou plus précisément, pour qu’une partie de ses responsables se décide à refaire du FN un adversaire dont les « idées pernicieuses » – pour reprendre les mots tenus samedi 6 septembre par Alain Juppé au campus de La Baule (Loire-Atlantique) – devraient être attaquées par la droite, au lieu d'être récupérées.
En poursuivant votre navigation sur Mediapart, vous acceptez l’utilisation de cookies contribuant à la réalisation de statistiques et la proposition de contenus et services ciblés sur d'autres sites.
De notre envoyée spéciale à Nice (Alpes-Maritimes). Il aura fallu un sondage plaçant Marine Le Pen en tête au premier tour de la présidentielle de 2017 pour que l’UMP s’inquiète de nouveau du Front national. Ou plus précisément, pour qu’une partie de ses responsables se décide à refaire du FN un adversaire dont les « idées pernicieuses » – pour reprendre les mots tenus samedi 6 septembre par Alain Juppé au campus de La Baule (Loire-Atlantique) – devraient être attaquées par la droite, au lieu d'être récupérées.
Prolongez votre lecture ! 1 euro seulement pour 15 jours Je m'abonne
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous