Le préfet Jean-Jacques Debacq, qui dirige l'usine à procès-verbaux issus des radars automatisés, a fait payer par son administration les contraventions routières du dimanche dont son véhicule de fonction a fait l'objet et échappe au retrait de point sur son permis de conduire. Après nos révélations, celui-ci a démissionné.
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JeanJean-Jacques Debacq, le préfet à la tête de l'Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai), a démissionné à la suite de nos révélations, a confirmé le ministère de l'intérieur mardi 8 octobre. Dans une déclaration à l'AFP, Jean-Jacques Debacq a déclaré être « fier d'avoir mis pendant sept ans son énergie au service d'une politique de sécurité routière dont les résultats sont remarquables ».