Leurs analyses, sans concession, des défaillances du système scolaire français ont convaincu ces dernières années que l’école avait besoin de bien plus qu’une énième petite réforme. Sociologues, spécialistes des sciences de l’éducation, réputés proche du PS, ils ont contribué directement ou non au projet de « refonder l’école » sur de nouvelles bases. À lire leurs travaux, tout devait être remis à plat pour sortir de l’hypocrisie d’une école massifiée mais pas démocratisée, qui se soucie bien peu des 140 000 jeunes qui la quittent sans aucun diplôme chaque année, des 25 % de mauvais lecteurs à l’entrée en sixième ou des faux-semblants du collège unique.
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Leurs analyses, sans concession, des défaillances du système scolaire français ont convaincu ces dernières années que l’école avait besoin de bien plus qu’une énième petite réforme. Sociologues, spécialistes des sciences de l’éducation, réputés proche du PS, ils ont contribué directement ou non au projet de « refonder l’école » sur de nouvelles bases. À lire leurs travaux, tout devait être remis à plat pour sortir de l’hypocrisie d’une école massifiée mais pas démocratisée, qui se soucie bien peu des 140 000 jeunes qui la quittent sans aucun diplôme chaque année, des 25 % de mauvais lecteurs à l’entrée en sixième ou des faux-semblants du collège unique.
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