«C’est un peu fatigant… On ne m’appelle que pour commenter la campagne d’EELV. » Sandrine Runel ne cache pas son agacement. Alors que la candidate socialiste aux municipales à Lyon pensait avoir accompli le plus dur en présentant une liste d’union de la gauche agrégeant le PS, le PCF, Génération.s, Place publique et quelques Insoumis, la voilà à la remorque des écologistes, partis seuls à la conquête des communes de l’agglomération et de la métropole de Lyon.
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