« Je m’attendais à ce qu’on s’attaque à Maaloula. Comme la destruction des mausolées de Tombouctou ou des bouddhas de Bamîyâns, il s’agit d’un symbole », assure l’historien Frédéric Pichon, spécialiste de la Syrie, chercheur associé à l'université de Tours et auteur d’une thèse sur le village de Maaloula, tombé ce week-end aux mains des insurgés.
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