C’est une peur sans cesse exprimée par les femmes qui souhaitent témoigner de violences sexuelles. Voir sa vie disséquée dans les médias, les clichés sur les « filles faciles » ressortir dans la bouche de commentateurs du samedi soir ou la moindre phrase détournée pour mieux discréditer le récit. C’est ce qu’estime avoir subi l’actrice Sand Van Roy, qui a déposé plainte pour viol contre Luc Besson le 18 mai. Elle raconte aujourd’hui comment certains articles de presse ont d’emblée décrédibilisé sa parole, autour d’une obscure histoire de drogues, quand un hebdomadaire l’a présentée à deux reprises comme une ancienne « call-girl ».
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C’est une peur sans cesse exprimée par les femmes qui souhaitent témoigner de violences sexuelles. Voir sa vie disséquée dans les médias, les clichés sur les « filles faciles » ressortir dans la bouche de commentateurs du samedi soir ou la moindre phrase détournée pour mieux discréditer le récit. C’est ce qu’estime avoir subi l’actrice Sand Van Roy, qui a déposé plainte pour viol contre Luc Besson le 18 mai. Elle raconte aujourd’hui comment certains articles de presse ont d’emblée décrédibilisé sa parole, autour d’une obscure histoire de drogues, quand un hebdomadaire l’a présentée à deux reprises comme une ancienne « call-girl ».
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