François Hollande l’avait annoncé devant le Congrès réuni à Versailles, trois jours à peine après les attentats de Paris et de Saint-Denis. Difficile de faire plus solennel. Mais c’est comme si personne, ou presque, n’avait vraiment voulu y croire. Le gouvernement a effectivement soumis au Conseil d’État la proposition formulée par l’aile droite de LR (ex-UMP) d’enfermer préventivement les personnes fichées « S », considérées comme particulièrement dangereuses.
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