On avait perdu sa trace, au fil des semaines. L’article 24 de la loi sécurité globale, qui punissait le fait de diffuser « dans le but manifeste qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique ou psychique, l’image du visage ou tout autre élément d’identification » d’un membre des forces de l’ordre, était presque tombé dans les limbes de l’appareil législatif.
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