Elle passerait presque inaperçue. Si la privatisation d’Aéroports de Paris (ADP) a soulevé non sans raison l’indignation générale de l’opposition au point de déclencher une procédure inédite de référendum d’initiative partagée, celle de la Française des jeux (FDJ) suscite beaucoup moins d’émois. Pourtant, l’article 51-III de la loi Pacte autorise dans sa troisième partie « le transfert au secteur privé de la majorité du capital de la société Française des jeux ». Dans la discussion parlementaire, Bruno Le Maire a indiqué que l’État entendait conserver 20 % de la FDJ.
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Elle passerait presque inaperçue. Si la privatisation d’Aéroports de Paris (ADP) a soulevé non sans raison l’indignation générale de l’opposition au point de déclencher une procédure inédite de référendum d’initiative partagée, celle de la Française des jeux (FDJ) suscite beaucoup moins d’émois. Pourtant, l’article 51-III de la loi Pacte autorise dans sa troisième partie « le transfert au secteur privé de la majorité du capital de la société Française des jeux ». Dans la discussion parlementaire, Bruno Le Maire a indiqué que l’État entendait conserver 20 % de la FDJ.
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