Les écologistes se paient le luxe d’un congrès incompréhensible
Sept motions, une majorité affaiblie et une bataille interne peu lisible, hormis la volonté de se renforcer dans l’appareil et de peser sur les investitures aux prochaines européennes... Tout ce que vous n’avez jamais voulu savoir sur le congrès écolo.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
CongrèsCongrès mal gré, pour les écolos... Au creux de la vague, miné par le récent psychodrame de la démission forcée de Pascal Durand, coincé dans une participation gouvernementale qu’il continue d’assumer malgré les échecs de son influence (dernier en date, la suspension de l’écotaxe), Europe écologie-Les Verts (EELV) se prépare à un congrès sans grands enjeux de fond à trancher, fin novembre à Caen. Et dans l’historique du parti écologiste, c’est typiquement ce genre de contexte qui peut entraîner le pire : tractations de couloirs, règlements de comptes internes et postures clivantes parfois factices, et sûrement illisibles pour l’extérieur.